Les fantômes de Monterrey. À propos du projet Travail émotionnel / Yes we can, par le collectif EstéticaUnisex

Auteurs

DOI :

https://doi.org/10.29105/aitias5.10-113

Mots-clés :

Art,, Travail, Enregistrement, Photographie, Exploitation

Résumé

Ce texte propose une lecture critique du projet Travail émotionnel / Yes we can, du groupe d'artistes de Monterrey, le collectif Estética Unisex, formé par Lorena Estrada Quiroga et Futuro Moncada, à la lumière d'auteurs comme IvánIlich et Byung-Chul Han.Ce document audiovisuel, réalisé dans les premières années de la deuxième décennie du siècle présent, explore les subjectivités et la conformation de leurs limites, aspirations, conceptions et champs vitaux façonnés et structurés dans le cadre des cultures et politiques de travail dominantes dans les villes du nord-est du Mexique, où les entreprises, les franchises et les dogmes découlent des exigences capitalistes, contrastant ces recherches esthétiques à la théorie des auteurs qui, depuis des décennies, explorent les notions de travail fantôme, de société de la fatigue et de l'auto-exploitation dans la société moderne.

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Références

Han, Byung-Chul. La sociedad del cansancio. Barcelona: Herder Editorial, 2012.

Han, Byung-Chul. Psicopolítica. Barcelona: Herder Editorial, 2014.

Illich, Ivan. La sociedad desescolarizada. México: Joaquín Mortiz, 1971.

Lizarazo, Diego. Hermenéuticas y esquirlas en la mirada cinematográfica. 1.ª ed. Ciudad de México: Universidad Autónoma Metropolitana, 2024.

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Publiée

2025-07-15

Comment citer

Pérez Cervantes, A. (2025). Les fantômes de Monterrey. À propos du projet Travail émotionnel / Yes we can, par le collectif EstéticaUnisex. Aitías, Revue d’études Philosophiques Du Centre d’études Humanistes De l’UANL, 5(10), 149–162. https://doi.org/10.29105/aitias5.10-113

Numéro

Rubrique

Dossier

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